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DIFFÉRENCES
mais c’est une valeur introduite par l’élévation au quarré, puisqu’elle ne satisfait pas à l’équation sous sa première forme.
En faisant le développement, l’équation peut être mise sous cette forme
et donne conséquemment, pour la véritable valeur de
(1)
La considération d’une seconde ellipse qui, ayant pour foyers les points et passerait par le point donnera pareillement, en désignant par le coefficient différentiel au point
(2)
Les équations aux différences mêlées (1, 2) ne paraissent facilement intégrales que dans le cas où le point est infiniment éloigné ; c’est-à-dire, dans le cas où les rayons et sont parallèles. Alors et sont respectivement infinis par rapport à et ce qui réduit les équations (1, 2) aux suivantes
ce qui donne
d’où résultent ces deux valeurs