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DES ÉQUATIONS NUMÉRIQUES.
L’inspection du premier de ces deux derniers tableaux nous montre que c’est entre et que sont comprises les deux racines réelles dont il s’agit, et nous apprend de plus que l’une d’elles est comprise entre et et l’autre entre et nous avons donc deux limites distinctes pour chacune d’elles, et notre but se trouve ainsi rempli.
Ici, comme l’on voit, le calcul du second tableau était superflu ;
mais on conçoit que, dans certains cas, les deux tableaux peuvent,
comme celui que nous avions calculé en premier lieu, laisser encore
les deux, racines cherchées entre deux transformées consécutives de