Nous n’ajouterons plus qu’un mot, et ce sera pour faire remarquer l’analogie entre les principes qui nous ont dirigés dans ce qui précède et ceux que nous avons exposés à la page 183 du V.e volume de ce recueil. Ici, comme là, tout se réduit, en dernière analise, à obtenir d’abord du problème proposé une solution approximative, dont la précision soit subordonnée à la petitesse de certaines quantités, à éliminer ensuite du résultat ces mêmes quantités qui, du moment qu’elles ont disparu, ne sauraient plus influer sur ce même résultat qu’on doit dès-lors regarder comme tout-à-fait exact. Il n’est probablement aucune des questions dans lesquelles on emploie la doctrine des infiniment petits ou toute autre doctrine équivalente qui ne puisse être ramenée à ces principes qui nous paraissent non moins simples qu’ils sont lumineux.