et l’autre entre et , que nous ajoutions leurs valeurs absolues, pour avoir l’aire parabolique inscrite entre et que nous prenions enfin cette aire au lieu de l’aire nous aurons
Or, les équations (45, 21), (44, 32) coïncideraient respectivement si l’on avait
donc, le résultat de l’élimination de entre (44, 45) sera identique avec celui de l’élimination des différentielles entre les équations (21, 32) ; or, ce dernier résultat est celui de la méthode de M. Bérard ; donc aussi elle donne pour l’aire approchée celle de la courbe parabolique inscrite.
On est donc en droit de conclure, en toute rigueur, en vertu de l’axiome : Quæ sunt eadem, etc., que les méthodes de MM. Kramp et Bérard doivent, pour les mêmes diviseurs, donner les mêmes résultats.
La courbe parabolique (38), de l’ordre inscrite entre les limites à la courbe donnée, dont l’aire est a son aire propre entre les mêmes limites, exprimée en ordonnées équidistantes : c’est le second membre de (45). Mais, si l’on traite immédiatement cette aire parabolique par la méthode de M. Dobenheim, on ne trouvera pas un résultat différent, si toutefois on prend un assez grand nombre d’aires autrement divisées pour éliminer le nombre de coefficiens des puissances de qui suivent dans la formule (10) appropriée à ce cas. Or, c’est