formules ne semblent pas présenter un accroissement régulier d’approximation qui permette l’application de la méthode de M. d’Obenheim comme M. Kramp l’avait espéré.
Je crois pouvoir conclure de tous les essais que j’ai fait, qu’au moyen de nos formules on tire tout le parti possible d’un nombre donné d’ordonnées, et que l’emploi de ces formules offre le moyen, à la fois le plus exact et le plus expéditif d’intégrer les différentielles d’une seule variable. On peut, pour les diverses applications, consulter les mémoires cités, dont les formules s’appliquent à la manière des nôtres.
Les géomètres sentiront sans doute que cette manière de déterminer les coefficiens d’une formule, par des applications faites à des cas connus, dispense l’analiste d’une foule de raisonnemens, dont alors l’algèbre fait tous les frais. L’esprit de cette méthode peut avoir bien d’autres applications utiles.