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DE LA CIRCONFÉRENCE.

Si donc on suppose on aura exactement, quel que soit

(5)

le nombre des facteurs du dénominateur devant être infini, et conséquemment le dernier étant l’unité.

On sait que, étant un arc quelconque, on a

d’où il résulte, pour l’équation (5), cette autre forme

(6)

Ainsi, toutes les fois que sera l’un des nombres dans lesquels la circonférence peut être géométriquement divisée, c’est-à-dire, quelqu’un des nombres de la suite 2, 3, 5, 17, 257,…, l’expression de sera entièrement algébrique.

Si, par exemple, on suppose d’où et il viendra