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les lettres de la montagne

Spon que Rousseau parle dans une note ajoutée à la lettre cinq[1].

Dans les fragments inédits sur l’histoire de Genève publiés par Sandoz[2], il se trouve une allusion à « Leti, historien de Genève ». Rousseau a probablement lu l’ouvrage de Leti dans l’édition italienne :

Historia Genevrina o sia historia della citta e republica di Geneva. Amsterdam, 1686, 4 v., in-12.

Des Ordonnances Ecclésiastiques il paraît par une note ajoutée à la septième lettre[3], qu’il a employé l’édition suivante :

Ordonnances Ecclésiastiques de l’Eglise de Genève, Genève, chez les frères De Tournes, M.DCC.XXXV., in-8o, 62 p. « passées et revues en Conseil général, le 3 juin 1576 ».

Les écrits que Rousseau cite le plus souvent sont les suivants :

Edits de la République de Genève. A Genève chez la Société des Libraires, M.DCCVII, in-4o, vii-174 p.

Edits civils de la République de Genève. A Genève, chez la Société des Libraires, M.DCCXIV, in-4o, ou in-8o, iv-136 p.

  1. Edition Hachette, III, p. 190. Cf. ci-dessus, p. 11, lettre à De Luc.
  2. Histoire de Genève, fragments inédits de J.-J. Rousseau, Revue Suisse (Neuchâtel. Klingebeil et Georg), t. XXIV, 1861, p. 465. Ces fragments peuvent être de 1764 (cf. Dufour, Recherches, II, 143) ; du moins on trouve au milieu d’eux, au f. 45re du MS. Neuchâtel 7843, une lettre à De Leyre du mois de mai 1764.
  3. Edition Hachette, III, p. 219, n. 1.