primeur Bourgeois de Genève, 27 juillet 1507. Par l’Evêque Adémarus Fabri le 24 May 1387.
Il y a un exemplaire de cet ouvrage à la bibliothèque publique de Genève sous la cote Db. 1217. Le format est in-4o. A en croire une lettre d’André César Bérard du 19 octobre 1762, ce dernier avait vendu à Rousseau un exemplaire de cette même édition ; Dufour toutefois dans une note ajoutée à cette lettre[1] croit que les mots Franchises et Libertés qu’emploie Bérard sont un terme équivoque pour les Edits de 1707. En effet si Rousseau possédait lui-même en ce moment un exemplaire des Franchises, on ne conçoit pas qu’il en ait transcrit le texte complet dans son cahier.
9. (f. 27-28) Représentations faites à M. le P[rocureu]r g[énéra]l Grenus le 28 8bre 1696 sur l’original desquelles étoient signés 215 citoyens et bourgeois.
Plainte contre les monopoles des réfugiés qui avaient la permission de tenir leur boutique ouverte « au préjudice des droits des Bourgeois ».
10. (f. 29-30) Représentations des Citoyens et Bourgeois en 1704 7bre, pour obtenir la révocation de trois arrêts rendus à leur préjudice en 1699, 1702, et 1704 touchant l’impôt sur les vins et les vignes acquises à l’étranger.
Pour cette affaire voir Thourel, Histoire de Genève, Genève, 1832-1833, v. II, p. 469-470.
11. Aux f. 27-30 il y a deux longues notes sur les affaires de 1707, dont l’une est intitulée « Introduction aux affaires de 1707 », et l’autre « Affaires de 1707 ». La première traite de l’affaire Vaudenet[2], et l’autre des propositions de Delachanaz[3]. Rousseau ne signale pas la source de ces notes.