1744
O. ... R.se rend à Lyon au sujet de sa querelle avec Montaigu. Là, il entre en relations avec le banquier Boy de la Tour [8], 230 ; [9], 33. O.li.R.est à Paris, il rappelle ses griefs à Du Theil [10J, 47-48. O. .. R. s’installe chez Ignace-Emmanuel d’Altuna, rue Saint-Honoré; ils prennent leurs repas chez Mme La Selle proche l’Opéra [8], 232-233, 243. [Hiver?] Gauffecourt introduit R.chez le fermier-général La Pouplinière. 1. Pierre Boy de la Tour, 1706-1758, avait épousé en 1740 Julianne-Marie Roguin [178],p. III qui recommanda nièce de Daniel Roguin [178],?. 111, qui recommanda R. à son neveu. 2. Comment a-t-il pu se rendre de Genève à Paris par Lyon en quatre ou cinq jours? Une deslettres est probablement mal datée. R. descendit à l’Hôtel d’Orléans, rue du Chantre, près du Palais-Royal [8a3], XXVI, 42. 3. Altuna, 3 septembre 1722-27 mai 1763 [727], 190-191. 4. Commensaux: les commandeurs de Graville, et de Nouant le lieutenant-colonel du Plessis MM. de Besse et de Forcade; Ancenet, officier des mousquetaires [8], 243-244; probablement Michel-Marie Ancelet, aide-major des mousquetaires, puis mestre de camp de cavalerie [335], XV, 356. 5. Alexandre-Jean-Joseph Le Riche de La Pouplinière, t6a3-t762, épousa en 1737 Françoise-Catherine-Thérèse Boutinon des Hayes, 1714-1756. – En septembre ou octobre, GauSeoourt était à Genève; de retour à Paris [19], III, 132 (qui corrige [8], 236), il introduit R. chez le fermier-général. R. y rencontre Mme de Pompadour [a], 7, « avant sa fortune », c’est-à-dire avant le printemps 1745; « portant encore le nom de Mme d’Etiol!es », soit avant la mi-juillet 1745. En effet, le roi la reconduisit du bal masqué chez elle le 25 février le 22 avril il la présenta à ses intimes aux soupers des Petits appartements la séparation des époux Le Normand était prononcée par le Parlement le 16 juin, et, le 11 juillet, partait de Gand le brevet de marquise; il ne faut pas attendre jusqu’au 14 septembre, jour de la présentation officielle de la favorite à la cour [674], 1-19, 65, 104-105, 109. L’introduction chez La Pouplinière se situe donc entre octobre 1744 et février 1745, encore que Cucuel la repousse jusqu’à l’automne [442], 120. — A part Jeanne-Antoinette Poisson Le Normand d’Etiolles, 1721-1764, R. fit dans ce salon [8], 36o, la connaissance de Jean-François Marmontel, 1723-1799, mais j’ignore à quel moment.
