Et toi, faux Bonaparte en naufrage, aux délices
D’une villa paisible et merveilleux séjour,
Toi qui mériterais le dernier des supplices,
Tu subiras aussi ton châtiment, un jour !
Et Dieu te le fera ! ton œuvre satanique
Ne pourrait ici-bas trouver un châtiment
Assez grand pour celui dont le forfait unique
Nous a jetés en proie au vautour allemand !
Mais avant que, pour toi, la peine expiatoire,
Éclate, en burinant ton exécrable nom
Sur le poteau vengeur du pilori, l’histoire
Te proclame le roi des traîtres en renom !