Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/76

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Séparateur


Ces potiers qui plongent leurs mains dans l’argile, — puissent-ils travailler avec intelligence et raison ! — Jusqu’à quand continueront-ils à la meurtrir des pieds et des mains ? — C’est l’argile du corps humain. À quoi pensent-ils donc ?


112.
Séparateur


Ami, ne nous soucions pas de demain, — profitons de ce souffle de vie. — Demain quand nous quitterons ce caravansérail, — nous serons pareils aux morts d’il y a sept mille ans.


113.