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Je vends le diadème du Khagan et l’aigrette du Chah, — je vends le turban de soie pour le son de la flûte. — Le chapelet qui est aux doigts des hypocrites, — je le vends pour une coupe de vin.


66.
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Une coupe fine que le vin a remplie — même un homme ivre n’ose la briser ? — Tant de têtes et tant de pieds délicats, — par quel amour ont-ils été réunis ? par quelle haine séparés ?


67.