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Comme le sort de l’homme dans ce caravansérail à deux portes, — n’est que souffrance et agonie, — heureux qui n’a vécu que le temps d’une respiration, — et plus heureux qui n’est pas né.


12.
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Dans cette parade de foire, un ami ne le cherche pas. — Écoute ma parole, un refuge ne le cherche pas ; — accepte la douleur, un remède ne le cherche pas. — Vis joyeux dans les malheurs sans attendre qui te plaigne.


13.