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entre les acides & les alkalis, que de donner un remede purgatif, qui selon eux, n’étoit capable que d’augmenter ce grand combat. L’Auteur de la Lettre est un peu sujet à prendre ainsi pour des propositions universelles, des propositions particulieres. Au reste, j’avertis qu’au lieu de ces mots : Si j’avois voulu m’arrêter à tous les raisonnemens qu’on me fit sur les acides & les alkalis pour me prouver que le Malade que j’ai délivré du Solium dont on voit la figure, planche premiere, m’avoit aucun Ver, qu’il le falloit encore saigner, & lui donner ensuite le petit lait, ce Malade auroit encore son Ver, ou seroit mort ; j’avertis, dis-je, que je devois mettre les suivans : sçavoir, Si j’avois voulu m’arrêter à tous les raisonnemens que l’on fait sur les acides & sur les alkalis, & qui m’auroient prouvé que le Malade que j’ai délivré du Solium dont on voit la figure dans la planche premiere, n’avoit aucun Ver, & qu’il falloit le saigner & lui donner ensuite le petit lait, il auroit peut-être encore son Ver, ou seroit mort.

Le treiziéme article est, que je dis que l’huile de vitriol & celle de