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vre, que mon suffrage seroit ici fort inutile. Je me contenterai donc d’observer que Monsieur Andry nous donne aujourd’hui le même Ouvrage enrichi de quantité de remarques nouvelles très-importantes, lesquelles rendent cette Edition d’autant plus utile au Public, qu’elles sont toutes appuyées sur l’expérience, & ne peuvent que contribuer considérablement à l’avancement de la Médecine Pratique. Fait à Paris ce 5. Juillet 1714.

DUFRESNE.




Lettre de Monsieur Coppero, Docteur & Professeur en Médecine à Londres, à l’Auteur de ce Livre.


MONSIEUR,

J’ai lû votre Traité de la Génération des Vers dans le corps de l’homme, dès la première Edition qui s’en fit à Paris où j’étois alors : J’en ai été satisfait au-delà de tout ce que je puis vous dire, tant pour le fond que pour la méthode. Je ne sçai cependant si vous devriez en laisser paroître encore une nouvelle Edition, après tant d’autres qui en ont déjà été faites ; car ne voyez-vous pas que si vous avez excité contre vous la plume de quelques Censeurs, c’est parce que ce Traité à force de remettre devant

    nique des effets de la Saignée & de la Boisson dans la cure des maladies, &c. Imprimé en 1707. à Chambery. Voyez encore l’Ecrit intitulé, Dissertation sur la nourriture des Os, où l’on explique la nature & l’usage de la moëlle avec trois Lettres sur le Livre de la Génération des vers dans le corps de l’homme. Imprimé à Paris, chez Pierre Witte en 1704.