res, les Péricardiaires, les Sanguins, les Vésiculaires, les Elcophages, les Cutanés, les Umbilicaux, les Vénériens, les Oesophagiens & les Spermatiques.
Les effets que produisent les Encéphales, proprement dits, sont des douleurs extraordinaires de tête, quelquefois des fièvres violentes, ainsi qu’il a été observé dans le Chapitre précédent, Article premier.
Les effets que produisent les Rinaires, les Ophthalmiques, les Auriculaires & les Dentaires, sont suffisamment marqués dans le même Chapitre, Article premier ; il faut y recourir.
Les Pulmonaires peuvent exciter des toux violentes ; monter quelquefois dans la trachée-artére, & y causer par leurs picottemens des efforts semblables à ceux que l’on a coutume de faire quand il est entré quelque goutte de boisson dans le larynx. Ils rongent quelquefois les poumons, & y peuvent produire des ulcères.
Les Hépatiques doivent causer