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tes de Malades. 2o. Que c’est ce qui m’a porté à ne point séparer cette étude du grand nombre de celles que la Médecine exige. 3o. Que si l’on me demande pourquoi j’ai écrit sur les Vers, préférablement à tant d’autres matieres qui paroissent beaucoup plus importantes, j’avertis que ce qui m’y a principalement déterminé, est le peu d’attention que j’ai vu que l’on faisoit à un mal qui devient souvent funeste quand il est négligé. 4o. Que cette raison, jointe à l’occasion que je vais rapporter, ne m’a pas semblé indifférente.

Le quatriéme de Juin de l’année 1698, je fus appellé dans la rue S. Denis pour voir un jeune Homme attaqué depuis ce jour-là d’une forte fiévre, accompagnée d’une pressante douleur de