Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/25

Cette page a été validée par deux contributeurs.


PRÉFACE.



Je répeterai ici d’abord ce que j’ai déjà dit dans les précédentes éditions ; sçavoir, 1o. Qu’encore que les maladies causées, ou entretenues par les Vers, ne soient pas aussi fréquentes que se l’imaginent quelques personnes préocupées, qui font dépendre des Vers, presque tous les maux qui affligent le Corps Humain ; un Médecin est néanmoins obligé de s’appliquer à connoître ces maladies, s’il veut s’acquitter comme il faut d’une Profession qui le doit rendre utile à toutes sor-