Page:Andry de Boisregard - De la Génération des vers, 1741, tome I.djvu/21

Cette page a été validée par deux contributeurs.

à ceux à qui le secours des traductions est nécessaire. La Faculté enfin n’a d’autre volonté que la vôtre. Elle vous chérit comme un Protecteur, & vous révere comme son Oracle. Ce que je dis d’elle en général, se peut dire en particulier, de tous ceux qui la composent, ou si quelqu’un de nous étoit assez malheureux pour mériter une exception, le Corps le désavoueroit, & ne le regarderoit plus comme un de ses membres. Je ne cours point ce risque, Monsieur, car dans le dessein commun de nous former & de nous régler sur vous,