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achever ; & que c’est à la posterité d’accroître par de nouvelles découvertes le fonds de ses Peres[1]. »
Dans la page 37. j’ay dit, en parlant de la cochenille, que l’arbre où elle vient, nourrit en même tems dans cette coque de petits vermisseaux. Quelques personnes trouveront peut-être à redire que j’aye appelle la cochenille une coque, au lieu de l’appeller une graine, & m’accuseront d’avoir manqué en cela à cette même exactitude que je recherche ; mais j’avertis que ceux qui prennent la cochenille pour une graine se trompent, c’est une coque formée du suc de la plante par la piqueure
- ↑ Et si nemo nostrum sufficiat ad Artem simul constituendam, & absolvendam, satis tamen videri debet, si quæ multorum annorum spatio priores invenerint, posteri accipientes, atque his addentes aliquid, illam aliquando compleant atque perficiant. Galen. in Commentario. Aphor.