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ques, dont on ne sçauroit trop se défendre, mais il y en a d’autres qui sont amis de l’animal, & qui marquent la bonté du temperamment.

Jusqu’icy nous avons parlé de ces premiers, c’est-à-dire de ceux qui nuisent au corps. L’ordre demande que nous parlions à present des derniers ; c’est-à-dire de ceux qui ne sont point malfaisans. Je les appelle vers Spermatiques, parce qu’ils se trouvent dans l’humeur Spermatique des animaux. Je n’ay pu me dispenser d’en dire un mot dans le Chapitre troisiéme, en faisant le détail des differentes especes de vers. Mais comme je n’aurois pû m’étendre sur cette espece particuliere, sans m’écarter de mon dessein, qui étoit alors de traiter des vers qui sont nuisibles à la santé, j’ay été obligé de renvoyer cette matiere au Chapitre suivant.

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