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ADDITIONS ET CORRECTIONS
dans le second Tome.



Page 6. ligne 18. Creature de feu, lisez créature du feu. Pag. 28 l. 2. la sçavant, lisez, le sçavant. P. 45. ligne derniere, en leur ôtant leur violente souplesse, effacez violente, ou bien lisez, en leur faisant violence, & leur ôtant leur souplesse. P. 59 l. 12. allia, lisez alia. P. 61. l. 12. leur armée, lisez l’armée de ces Princes P. 92. ligne derniere, le, lisez les. P. 120. à la marge inferieure, ch. 28. lisez ch. 27 & ajoûtez, Si les cent soixante & seize personnes qui étoient dans ce vaisseau, demeurerent quatorze jours sans prendre aucune nourriture, quelle qu’elle fût, comme on le veut dans le Traité des Dispenses ; il est certain que la chose arriva miraculeusement ; mais il ne faut pas oublier de remarquer ici l’explication que les plus doctes Interpretes donnent à ce passage des Actes : Quartâ decimâ die hodie expectantes jejuni permanetis nihil accipientes. Sçavoir, que l’Ecriture prétend seulement faire entendre par-là, que ce grand nombre de personnes n’avoient pris que trés-peu de nourriture pendant ces quatorze jours, à cause de l’extrême crainte & de la grande occupation que leur avoit donné le peril où ils étoient. Voïez le Cardinal Cajetan, Estius, Menochius, Tirin, Cornelius à Lapide, Grotius, Emmanuel Sa, &c. Ainsi de quelque maniere que le Passage s’entende ; soit à la lettre, soit au sens des Interpretes que nous citons, il ne sçauroit servir à prouver qu’on puisse naturellement se passer de toute nourriture pendant quatorze jours & se bien porter encore aprés.