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que néanmoins page 155. de sa Réponse : Que les fievres se terminent souvent par des sueurs qui en font les crises ; Qu’un Medecin doit suivre dans l’évacuation des humeurs les penchans de la nature, & les issuës qu’elle lui montre.

On ne finiroit pas, si on vouloit s’arrester à tout ce qu’il y a de sensé dans la Réponse de M. Hecquet ; on va se borner à deux articles, dont l’un est de la purgation au commencement des maladies aiguës ; & l’autre, de la purgation sur la fin de l’accés dans les fiévres, avant que d’en venir au Quinquina. Ces deux articles ne doivent point estre indifférens aux Lecteurs, c’est pourquoi on tâchera de les rendre le plus intelligibles qu’il se pourra. Pour bien faire entendre ce que M. Hecquet dit sur le premier article, il faut auparavant mettre les Lecteurs au fait, & cela de