ce mot, & qui pretendoient qu’il falloit dire alors, au lieu de pour lors ; mais il y a en cela plus de dêgoût que de delicatesse : & je ne crois pas qu’il y ait rien à reprendre en cet exemple de M. de Vaugelas ; ils luy dirent qu’il reposoit, & que pour lors il n’y avoit pas moyen de parler à luy[1].
On pourroit peut-être faire voir quelque difference entre alors & pour lors, en disant que alors est plus general & plus vague, & que pour lors marque un tems plus précis.
Pour que.
Un de mes Critiques trouve que j’ay tort d’avoir approuvé ce mot, & un autre soûtient que j’ay raison ; cela fait voir comme nos Censeurs s’accordent. Celuy qui soûtient que j’ay raison, est l’Auteur des Remarques nouvelles, lequel fait dans son second Volume la même observa-
- ↑ Vaug. Quint.