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tre les bras de la mort ; Que prié par ses amis de communiquer au Public des recherches si curieuses, il les renferma dans cet Ouvrage, & le dédia à Henry III. Que l’Ouvrage fut lû dans les plus célèbres Universités de l’Europe avec la même vénération que les Ouvrages des Anciens ; Qu’il fut traduit en plusieurs langues & même en vers françois. Que Scévole de Sainte-Marthe reçut ordre d’Henry III. de le traduire en prose françoise ; mais que les grandes affaires dont l’Auteur fut chargé, l’empêcherent de s’acquitter de ce devoir, dont M. de Sainte-Marthe, Doyen de la Cour des Aydes, s’est depuis acquitté. Voilà tout ce que M. le Président Cousin dit du Livre en question dans le Journal des Sçavans 1699. 5. Juin ; Ce qui, comme on voit, ne donne aucune notion de l’Ouvrage.

M. Perrault de l’Académie françoise, cité par M. Cousin, ne dit