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SECONDE PARTIE.
I.
l me reste, mon cher Eudoxe, à vous rendre compte des six dernieres pages de ce Mémoire, lesquelles ne tournent pas plus à la gloire de ceux qui l’ont composé, que les précédentes, qui viennent de faire le sujet de la premiere Partie. Vous en allez juger.
» Les Theses, disent-ils, pag. 15. sont les armes des Médecins contre nous. Par le ministere de M. Santeul, ils en ont dressé une depuis peu, où ils prétendent, en y étalant leur supériorité chi-
