Chapot, minime, sous Louis XIII, auteur d’une vie de saint François de Paule ;
Deageant, premier ministre de Marie de Médicis, régente, auteur de Mémoires.
Duc, député au Corps législatif, en 1799 ;
Humbert II, dernier Dauphin, véritable fondateur de la ville ;
Lacombe-Maloc, mort pour la défense de la ville, en 1562 ;
Lagrange (Claude), un des plus célèbres et savants magistrats de son siècle ;
Lagrange (Antoine), minime, auteur du Temple mystique de Salomon ;
Magalion la Morlière, gouverneur de Saint-Marcellin, amena Mandrin à Valence ;
Maugiron ; cette famille possédait le château du Mollard, et Jeanne, fille de Gabriel, épousa Laurent, son cousin, lieutenant-général en Dauphiné ;
Murinais, député à l’Assemblée constituante, en 1790 ;
Odier, commissaire des guerres, inspecteur aux revues, député en 1815, professeur d’administration militaire à l’Ecole d’état-major et écrivain ;
Porret, distillateur ;
Rivail (du), historien et jurisconsulte dauphinois ;
Vache (du), président en la Chambre des Comptes, fondateur des Récollets de Saint-Marcellin et de Grenoble, et des Religieuses Célestes de l’Albenc.
Voilà, sommairement du moins, les traits principaux de l’histoire d’une ville sans passé.
Que lui faudrait-il donc pour en avoir un plus brillant ?