Rappelons que nous citons Nietzsche d’après l’édition in-8o des Gesammelte Werke parue chez Naumann, à Leipzig, en dix-neuf volumes (1899-1913). Les t. XVII-XIX contiennent les Philologica, La pagination de cette édition coïncide avec celle de l’édition in-12, parue de 1899 à 1901 chez le même éditeur, mais d’où les Philologica sont absents. J’ai tenu compte des indications nouvelles que nous apportent les préfaces et l’appareil critique de la Taschenausgabe in-16 (1910-1913). Je n’ai pu encore citer la nouvelle édition qui a commencé à paraître pendant la guerre, et qui reproduira, dans l’ordre chronologique, toutes les œuvres, philologiques ou non, complètes, fragmentaires ou posthumes.
Il a paru à Berlin et Leipzig, à l’Inselverlag, sous le titre de Friedrich Nietzsche’s Gesammelte Briefe, six volumes de correspondances. Nous les citons par la sigle Corr. en adoptant la tomaison d’abord projetée par l’éditeur :
Il a paru dans les Mitteilungen aus dem Nietzsche-Archiv, Weimar, chez R. Wagner, 1908, dix-neuf lettres nouvelles, relatives à des points litigieux de la vie sentimentale de Nietzsche.
Quand je parle des ouvrages que Nietzsche possédait dans sa bibliothèque, je m’appuie sur le catalogue publié par Mme E. Foerster-Nietzsche dans le recueil d’Arthur Berthold, Bücher und Wege zu Büchern, 1900. Le relevé des livres empruntés par Nietzsche à la Bibliothèque de Bâle (1869-187-5) a été fait par Albert Lévy, Stirner und Nietzsche, 1904, appendice.