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Bientôt on eut fait trois lieues. Alors la corneille des bois prit aussi congé. Comme elle était une simple campagnarde, elle s’était vite attachée de cœur à la petite, et cela lui faisait grand’peine de la quitter. Elle vola sur un arbre, et là elle battit des ailes aussi longtemps qu’elle put apercevoir le carrosse, qui brillait comme un vrai soleil.