demandèrent si c’était par cette entrée qu’on passait pour se rendre chez M. Jacques Felgine-Cobur qu’ils désiraient voir.
L’homme redressa péniblement sa maigre échine et tourna vers eux son visage creux, masqué de lunettes grillées.
— Monsieur Jacques Felgine-Cobur, c’est moi, dit-il.
Et, les voyant surpris :
— Je casse les pierres : c’est ma seule distraction.
Puis, se courbant de nouveau il frappa de son marteau un caillou qui se brisa avec un bruit sec.
Tandis qu’ils s’éloignaient :
— Il est trop riche, dit Saint-Sylvain. Sa fortune l’écrase. C’est un malheureux.
Quatrefeuilles pensait se rendre ensuite chez le rival de Jacques Felgine-Cobur, chez le roi du fer, Joseph Machero, dont le château tout neuf dressait horriblement sur la colline voisine ses tours crénelées et ses