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Vieux Silène, barbouillé par la plus belle des naïades du sang des mûres, où m’a conduit ce vers que tu chantais à Mnasile, à la jeune Églé, aux faunes et aux chênes des forêts. Chante encore, chante Pasiphaé, divin ivrogne, et fais-moi oublier mes sombres rêveries.