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m. lantaigne. — Que dites-vous ?

m. bergeret. — Rien. J’annote la suite du Discours sur l’Histoire universelle.

m. lantaigne. — Ne raillez point et ne niez point. On écoutait venir sur les routes les chevaux blancs qui ramenaient le roi. Henri Dieudonné venait rétablir le principe d’autorité d’où sortent les deux forces sociales : le commandement et l’obéissance ; il venait restaurer l’ordre humain avec l’ordre divin, la sagesse politique avec l’esprit religieux, la hiérarchie, la loi, la règle, la liberté véritable, l’unité. La nation, renouant ses traditions, retrouvait avec le sens de sa mission le secret de sa puissance et le signe de la victoire… Dieu ne le voulut pas. Ces grands desseins, traversés par l’ennemi qui nous haïssait encore après avoir satisfait sa haine, combattus par un grand nombre de Français, mal soutenus par ceux-là mêmes qui les avaient formés, furent rompus en un jour. La frontière de la patrie fut fermée à Henri Dieu-