Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 147 —
goureuse vint la frapper à la tempe ; elle tomba
baignée dans son sang, et quelques minutes après
elle termina son sort et son supplice. Quoique devenue
insensible aux insultes de la multitude, elle
continua à en recevoir les outrages. La rage impuissante
de ses meurtriers s’exerça sur son cadavre,
et ne s’arrêta qu’après l’avoir mutilée, défigurée,
de manière à lui ôter jusqu’à la forme
d’une créature humaine.
FIN DU TROISIÈME VOLUME.