Page:Amable Floquet - Anecdotes normandes, deuxieme edition, Cagniard, 1883.djvu/329

Cette page a été validée par deux contributeurs.

donc, et plus que jamais, il y fut lu des vers, de la prose, des dissertations et des mémoires ; toujours il y fut décerné des prix, rédigé des Inscriptions (et, encore, en langue latine, quoique certains esprits chagrins en eussent pu dire ) ; toujours, enfin, on y écrivait, on y discourait, on y délibérait ; — même, si je suis bien informé, on y riait, aussi, quelquefois.