Page:Amable Floquet - Anecdotes normandes, deuxieme edition, Cagniard, 1883.djvu/145

Cette page a été validée par deux contributeurs.

juges pensent estre les plus esloignez de la preuve », il n’avait garde d’oublier le fait presque miraculeux dont il avait été témoin dans sa jeunesse ; il le raconta, et c’est d’après lui que nous avons écrit.