Page:Amable Floquet - Anecdotes normandes, deuxieme edition, Cagniard, 1883.djvu/118

Cette page a été validée par deux contributeurs.

On n’attend pas, sans doute, que nous osions prononcer sur de si grands différends. C’est assez pour nous d’avoir révélé et exactement décrit une ancienne coutume, l’une des plus curieuses, peut-être, de l’église au moyen-âge. Le nom de Georges d’Amboise nous permettait d’espérer quelque intérêt ; son élection offrit, d’ailleurs, un concours d’incidents notables qu’il ne faudrait chercher dans aucune autre : c’est ce qui nous a décidé à vous en raconter l’histoire.