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pieux sentiments qu’ils reçurent sa dépouille et qu’ils l’ensevelirent sans rencontrer d’obstacle ; et ces paroles, échappées à leur douleur, restèrent à la fois comme un monument perpétuel qu’ils élevèrent à sa mémoire, et comme le symbole de l’union intime qui doit régner entre l’évêque catholique et son troupeau[1].



  1. Augustin. de Baptismo, III, 3 « Ego Cyprianum, catholicum episcopum, catholicum martyrem, et quanto magis magnus erat, tanto se in omnibus humiliantem, etc. » Cf. Prudent. de Coronis, hymn. XIII.