Pâques, 20 avril. | Pentecôte, 8 juin. |
le nouvel échelon
L’an passé, faisant écho à une conférence donnée à Chicago au cours d’un congrès pédagogique, une revue française[1] comparait le Néo-olympisme à un escalier dont la jeunesse aurait été appelée depuis un quart de siècle à gravir successivement les marches. L’auteur de l’article détaillait les fécondes étapes de ce grand mouvement : la préparation technique d’abord par l’union des forces disséminées, par la mise en contact des différents sports jusqu’alors étrangers ou même hostiles les uns aux autres, — puis l’éducation de l’opinion vaguement sympathique à un renouveau de la culture physique, mais totalement éloignée de l’idée qu’il pût y avoir là une source de force morale ou de progrès national, — puis la conquête des États dont l’adhésion était nécessaire : de l’Angleterre qui se
- ↑ Revue hebdomadaire, 12 mai 1917.