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NÎSIMA ET LA DÔCHICHA

écrivit à la veuve : « Je perds mon plus grand et meilleur ami. »

L’émotion causée par cette mort précipita les événements. Dès l’année suivante, l’école Dôchicha était transformée en Université libre. C’était le seul monument qu’il pût paraître convenable d’élever à la mémoire de Nîsima[1].


  1. Ses amis auraient voulu ériger un monument sur sa sépulture. Mais ils savaient que c’était contraire à ses désirs. Il n’y a sur sa tombe qu’une simple croix de pierre avec son nom. On trouvera une description très détaillée de la Dôchicha dans l’Allgem. Missionszpitschrift, mars 1894, p 97.