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DE LA DEMOCRATIE NOUVELLE.

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d entrée jusqu’au niveau de l’impôt établit t égalité entre les producteurs étrangers et nationaux; la lice est ouverte.

Nous avons déjà mis en relief, dans une autre partie de cet ouvrage, l’importance que nous attachions à l’industrie agricole et à celle qui s’applique aux produits indigènes. Nous sommes parfaitement en suite avec nous-même en plaidant pour la levée progressive des prohibitions car les droits protecteurs ne couvrent que l’industrie manufacturière opérant sur des matières étrangères. Le producteur a besoin du marché extérieur l’industriel veut se garantir de la rivalité du produit étranger tous les embarras qui naissent de la question de douanes consistent dans la coexistence de ces deux Intérêts. Mais puisque la vraie économie recommande en France li plus vive sollicitude envers 1 agriculture et l’industrie appliquée aux produits Indigènes, il A ce sujet, je citerai un fait relatif à l’un de tics plus honorables et plus habiles fabricants.

Pendant le calme que notre industrie vient de traverser, M. R. stimulé par le désir d’occuper ses ouvriers, lit de nombreux essais pour obvier, par l’emploi du coton, au prix.élevé des soies il réussit, obtint des ordres mais il eut la douleur (le ne pouvoir les exécuter, parce que les filateurs français, protégés par la prohibition ne lui livrereit) ni les numéros ni les quantités qu’il demandait. y; ;;fM/ .t; /c.t /o~«’’ e~f~M. p. 6q.)