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que jusqu’alors on avait gardées à travers tous les changemens politiques : ce fut un vrai bouleversement dans l’administration.
Comme un matin Julien lisait dans les journaux ces mutations, jetant aussi un regard sur la séance du Parlement de la veille :
« Ce n’est pas assez, dit Anna, de passer vos jours et vos soirées à la Chambre, il faut encore que le matin vous lisiez ce que vous avez entendu la veille : c’est une fureur, une maladie. »
Julien sourit, lui prit la main, l’attira vers lui.
« Je ne lirai plus, lui dit-il, si vous voulez parler. »
Mais comme l’Indienne ne répondait rien, fâchée contre lui, il reprit le cours