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disant dédaigneusement qu’il perdait son temps.

Comme Anna lui reprocha d’oublier leur bonheur passé, il répondit :

« J’ai trouvé le bonheur dans la Chambre ; je n’ai été heureux qu’au Parlement. »

La saison portait l’âme à l’exaltation ; ce mot devint pour l’Indienne la source des larmes qu’elle avait besoin de répandre ; elle y voyait tous les malheurs pour elle. Que Julien trouvât donc la force de supporter le poids des affaires sans faiblir, qu’il changeât donc son organisation fragile. Julien, la voyant triste, lui donnait des livres ; il lui disait qu’elle était belle, qu’elle était bonne. L’importunant de ses affaires du monde, des détails de sa toilette quand il allait