Page:Allart - L Indienne.djvu/158

Cette page a été validée par deux contributeurs.
148

ler, et votre visage, vos manières lui apprendront mieux le charme d’une femme animée que tout ce que je pourrais lui dire. »

Julien entra à ce moment. Lady Hampshire lui montra son admiration pour l’Indienne. Ils causèrent tous deux de leur société. Lady Hampshire, apprenant à Julien des intrigues nouvelles, s’écria tout-à-coup :

« Mais que dites-vous de mon frère, qui empêche cette pauvre Madame Surrey de me voir ? Il ne la trouvait pas assez isolée, il a fallu qu’il la séparât même de sa belle-sœur !

— Quoi ! madame Surrey ne vous voit plus ?

— Sachez que mon frère, dit lady Hampshire en s’adressant à Anna, en-