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cours fut entendu avec émotion ; le parti tory l’appuya par de bruyans encouragemens. Dès qu’il eut fini, sir Charles Wetherell et M. Croker vinrent le féliciter ; il reçut plus tard dans la nuit les complimens d’autres torys. Ce parti, avec la grâce ordinaire, flatta sa jeunesse ; plusieurs des personnes que Julien avait vues à la campagne de lord Hampshire lui rappelèrent cette rencontre. Il accueillit tout le monde avec reconnaissance ; mais il comprenait qu’on voulait l’entraîner plus loin qu’il ne voulait aller : il conserva donc, dans la conversation, la modération qui était dans son discours. Il la conserva le lendemain vis-à-vis de lord Hampshire, qui vint lui faire une visite et l’engager à agir franchement avec les torys, sous