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rien ; le monde, l’univers avait disparu à ses yeux ; il n’y avait plus que de l’amour. Enfin, on vint dire à M. de Selmire que ses chevaux étaient prêts. Gertrude salua tout le monde en rougissant ; Alphonse, d’un air vainqueur, la fit monter en voiture, s’élança après elle, et aussitôt les chevaux les entraînèrent avec rapidité.

Allez, heureux amans, heureux époux ! allez… Et vous, Gertrude, que le ciel vous pardonne ces vains transports et ce vain délire !


FIN DU TOME PREMIER.