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LE LANGAGE DES FLEURS
Je conçois, à la rigueur, qu’un touriste ayant passé un siècle ou deux loin d’un pays ne soit pas autrement surpris de trouver, à son retour, des décombres et des ruines où il avait jadis contemplé de somptueux palais ; mais tel n’était pas mon cas.
Après une absence de cinq ou six mois, je ne fus pas peu stupéfait de rencontrer, à l’un des endroits de la côte qui m’étaient les plus familiers, un manoir en pleine dé-