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— Faut-il que je sois bête ! répéta-t-il encore une fois.

Et il ajouta :

— Un bock, hein !

— Volontiers.

Ce bock fut suivi d’innombrables autres boissons.

Et à chaque verre, comme pour s’excuser, mon ami disait :

— Ce sacré bromure m’a foutu une soif !!!