Page:Allais - Vive la vie.djvu/242

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Précisément ! Eh bien, taisez-vous et faites comme moi !

En un tour de main, elle se défit de ses atours.

En un second tour de main, elle se glissa, rose couleuvre, emmy les blancs linceux.

En un troisième tour de main, si j’ose m’exprimer ainsi, elle me prodigua ses suprêmes faveurs.

Une ligne de points, s.v.p.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Quand nous eûmes fini de rire, nous causâmes.

— Et Alfred ! demandai-je, sarcastique.

— Vous connaissez donc Alfred ? fit-elle, un peu étonnée.

— Pas du tout, je sais seulement qu’il vous a écrit hier… surtout un post-scriptum !

— Ah ! oui, un post-scriptum !… Eh bien, il a raté une belle occasion de se tenir