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— Tiens, monsieur de Puyrâleux !… Comment allez-vous ?
— Très bien, je vous remercie… c’est-à-dire, quand je dis très bien, vous savez…
— Seriez-vous souffrant ?
— Non, mais…
Et Gaston narra au gros homme sa triste situation.
Le gros homme se trouvait être, détail ignoré de Gaston, un fort entrepreneur d’arrosage de la Ville de Paris. Il compatit vivement à la détresse du jeune homme.
— Si j’osais vous offrir une place dans les bureaux ?
— Oh ! les bureaux, vous savez, ça n’est pas beaucoup mon affaire.
— Je ne peux pourtant pas vous proposer de mener un tonneau d’arrosage.
— Pourquoi pas ?
— Comment, vous consentiriez… ?
— Parfaitement !… Moi, pourvu que j’aie