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Je dirais qu’on n’y voit que moi, je mentirais ; mais enfin j’y vais souvent.

Je dois à la vérité de déclarer que je n’ai pas encore pu rencontrer M. Conrad de Witt dans une autre attitude que celle bien connue du vieux gentleman défendant les intérêts des bouilleurs de cru de l’arrondissement de Pont-l’Évêque.

Bouilleurs de cru de l’arrondissement de Pont-l’Évêque, dormez en paix : vos intérêts sont en bonnes mains !

J’ai toujours professé un goût très vif pour les travaux parlementaires. Rien, d’ailleurs, de ce qui touche à la grandeur de la France ne saurait me laisser indifférent.

J’aimerais tant voir notre pauvre France prospère à l’intérieur et respectée au dehors ! Espérons que ça viendra !

Quelques députés veulent bien m’honorer de leur confiance et de leur amitié.